Naturalisation
henry dunant
C’est à Culoz, le 26 avril 1859, qu’Henry Dunant, âgé de 31 ans, de nationalité suisse, demande à être naturalisé Français.
Le fait qu’Henry Dunant ait choisi la mairie de Culoz pour acquérir la nationalité française peut s’expliquer par différentes raisons.
A Culoz, Henry Dunant était considéré comme un notable.
En 1793, son grand- père paternel y avait acquis le cellier d’un ancien monastère.
Ce lieu- dit « La Chèvrerie » est toujours la résidence secondaire de la famille Dunant.
Si Henry Dunant a pu obtenir la nationalité française c’est qu’il disposait, par sa mère Anne Antoinette née Colladon, des origines françaises dans le Gard.
Descendante de la famille Gille de Sommières qui a dû quitter la ville pour Genève en 1685.
En effet, grâce à des dispositions voulues par Louis XVI de l’article 22 de la loi des 15 et 20 décembre 1790 et en tant que descendant de « réfugiés pour cause de religion », Henry Dunant fait donc valoir son droit de réintégration.
A l’entrée de la mairie de CULOZ se trouve une plaque commémorative indiquant le jour de sa naturalisation.
Une plaque commémorative à Sommières.
Dans les locaux de l’unité de SOMMIERES se trouve également une plaque commémorative des 100 ans de la CROIX ROUGE (1863-1963) sur laquelle sont évoquées les origines Sommiéroises d’Henry Dunant.




Naturalisation
henry dunant
C’est à Culoz, le 26 avril 1859, qu’Henry Dunant, âgé de 31 ans, de nationalité suisse, demande à être naturalisé Français.
Le fait qu’Henry Dunant ait choisi la mairie de Culoz pour acquérir la nationalité française peut s’expliquer par différentes raisons.
A Culoz, Henry Dunant était considéré comme un notable.
En 1793, son grand- père paternel y avait acquis le cellier d’un ancien monastère.
Ce lieu- dit « La Chèvrerie » est toujours le résidence secondaire de la famille Dunant.
Si Henry Dunant a pu obtenir la nationalité française c’est qu’il disposait, par sa mère Anne Antoinette née Colladon, des origines françaises dans le Gard.
Descendante de la famille Gille de Sommières qui a dû quitter la ville pour Genève en 1685
En effet, grâce à des dispositions voulues par Louis XVI de l’article 22 de la loi des 15 et 20 décembre 1790 et en tant que descendant de « réfugiés pour cause de religion », Henry Dunant fait donc valoir son droit de réintégration.
A l’entrée de la mairie de CULOZ se trouve une plaque commémorative indiquant le jour de sa naturalisation.
Dans les locaux de l’unité de SOMMIERES se trouve une plaque commémorative des 100 ans de la CROIX ROUGE (1863-1963) sur laquelle sont évoquées les origines Sommiéroises d’Henry Dunant.




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